Directeur financier d’une PME d’une vingtaine de salarié, Monsieur R connait une rupture de compétence avec le départ de sa responsable de paie.

Je vais reprendre la paie. Ce n’est pas compliqué. Le logiciel fonctionne bien et cela devrait aller vite !

Après 7 mois de paie, entre:

  • les évolutions quasi-mensuelles des textes légaux et les impacts sur le logiciel,
  • les demandes des salariés sur les règles appliquées,
  • les organismes qui donnent les informations tardivement,
  • le « choc » de la DSN,
  • l’annonce de l’impôt à la source,
  • ...
J’ai décidé de vous appeler car la paie est une activité trop contraignante. Il y a trop de temps à passer pour suivre les évolutions de logiciel et faire la veille légale et conventionnelle. Nous connaissons une forte croissance et devrions doubler l’effectif en un peu plus d’un an. Nous devons nous focaliser sur le recrutement et l’accompagnement de nos salariés, c’est autrement plus stratégique !

En cours d’année, notre équipe a repris l’ensemble des données du logiciel bien connu sur le marché, sans oublier les historiques liés à la rémunération et aux absences, les bulletins de paie et les autres états de gestion.

En un peu plus d’un mois, la paie est opérationnelle, les tableaux de bord disponibles… et la DSN déposée.